Malherbe a fait allusion aux studieuses flâneries de sa jeunesse, lorsque, la cervelle en rumeur, il allait, étant plus jeune, s'ébattre au bord de la rivière :
" L'Orne comme autrefois nous reverroit encore
Ravis de ces pensers que le vulgaire ignore
Esgarer à l'écart nos pas et nos discours.
Et couchez sur les fleurs comme estoilles semées
Rendre en si doux ébat les heures consumées
Que les soleils nous seraient courts "
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