mardi 24 septembre 2019
Photos d'anciennes maisons de la cavée dite maisons troglodytes sur notre commune
Roche ou l'on retrouve les traces de maisons construites a flan de granite.
Ces habitats rustiques s'appuient sur une configuration naturelle géologique, sorte de mur naturelle, dont les ouvertures sont dans des murs maçonnées en moellons de granite.
Une grande photo montre ces maisons vers 1900 dans la cavée.
"dite maisons troglodytes sur notre commune"
vendredi 20 septembre 2019
Chemin de trompe-souris
"en partance pour de nouveaux horizons, frais et pleins de couleurs cachées dans le reflet des eaux, de la pierre, des jardins en terrasse. Il suffira d’un rayon de lumière pour les voir éclore au moindre ..."
dimanche 8 septembre 2019
Passage des Jardins à La Carneille
LES JARDINS, POÈME (1780)
Désirez-vous un lieu propice à vos travaux ?
Loin des champs trop unis, des monts trop inégaux,
J'aimerais ces hauteurs où, sans orgueil, domine
Sur un riche vallon une belle colline.
Là, le terrain est doux sans insipidité,
Élevé sans raideur, sec sans aridité.
Vous marchez : l'horizon vous obéit : la terre
S'élève ou redescend, s'étend ou se resserre.
Vos sites, vos plaisirs changent à chaque pas.
Qu'un obscur arpenteur, armé de son compas,
Au fond d'un cabinet, d'un jardin symétrique
Soudain un trait heureux jaillit d'un fond stérile,
Et mon vers ranimé coule enfin plus facile.
Il est des soins plus doux, un art plus enchanteur.
C'est peu de charmer l'oeil, il faut parler au coeur.
Et mon vers ranimé coule enfin plus facile.
Il est des soins plus doux, un art plus enchanteur.
C'est peu de charmer l'oeil, il faut parler au coeur.
Qu'enfin les ornements avec goût soient placés,
Jamais trop imprévus, jamais trop annoncés.
Surtout du mouvement : sans lui, sans sa magie,
L'esprit désoccupé retombe en léthargie ;
Sans lui, sur vos champs froids mon oeil glisse au hasard.
Des grands peintres encor faut-il attester l'art ?
Voyez-les prodiguer de leur pinceau fertile
De mobiles objets sur la toile immobile,
L'onde qui fuit, le vent qui courbe les rameaux,
Les globes de fumée exhalés des hameaux,
Les troupeaux, les pasteurs, et leurs jeux et leur danse ;
Saisissez leur secret, plantez en abondance
Jamais trop imprévus, jamais trop annoncés.
Surtout du mouvement : sans lui, sans sa magie,
L'esprit désoccupé retombe en léthargie ;
Sans lui, sur vos champs froids mon oeil glisse au hasard.
Des grands peintres encor faut-il attester l'art ?
Voyez-les prodiguer de leur pinceau fertile
De mobiles objets sur la toile immobile,
L'onde qui fuit, le vent qui courbe les rameaux,
Les globes de fumée exhalés des hameaux,
Les troupeaux, les pasteurs, et leurs jeux et leur danse ;
Saisissez leur secret, plantez en abondance
Extrais du poème de Jacques Delille, né le 22 juin 1738
mercredi 4 septembre 2019
Mobilier de l'église et vitraux
Lustre de l'église
Bannière de procession
La bannière de procession est une pièce de tissu orné en broderie d'un décor et souvent d'inscriptions spécifiques. Bannière, elle est portée dans les processions où elle fait office d'insigne d'identification pour une confrérie religieuse, une paroisse ou une congrégation (gonfalon de...).
Elle est en général de forme rectangulaire, suspendue par le petit côté supérieur du rectangle à un bâton horizontal lui-même porté par une hampe. Elle peut comporter des cordons latéraux terminés par des pompons.
La lapidation de St Etienne
Panneau décoratif
serpent et escargot
rouge et bleu
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