mercredi 16 décembre 2020

COFFRE de mariage

Le présent à travers le coffre de mariage se perd dans la nuit des temps...A la cathédrale de Vannes, est conservé un coffre de mariage datant du 12éme siècle. On trouve les premiers coffres ornés en Italie dès le 15ème siecle. Il s’agit de très grands coffres (dits cassone) qui contenaient le trousseau de la mariée. Ils étaient ornés de magnifiques peintures, religieuses au départ, puis profanes et c'est dans ces coffres d'apparat que la peinture florentine va mettre ses premiers nus... Par exemple la Vénus d'Urbino, peinte par Le Titien, était au départ, la peinture du couvercle intérieur du coffre de mariage, commandé par della Rovere. Le coffre fait vraiment parti de l’histoire du mobilier, car outre le fait qu'il servait à transporter le trousseau de la marié, le coffre faisait office de rangement, à une époque où les meubles étaient transportés d’une demeure à l’autre. Voir, le coffre de mariage florentin. On trouve beaucoup de ces grands coffres en Allemagne, Autriche, au Tyrol, en Suisse, et en Asie. En France, on peut le trouver en Normandie, dans les Alpes. En Alsace, (et en Suisse), il existe aussi sous la forme du coffret de courtoisie : il était offert par le futur fiancé à sa promise et était constitué de petits tiroirs dans lesquels elle pouvait ranger ses petits trésors (bijoux, lettres, mouchoirs, objets précieux) C’était un cadeau de mariage type, au même titre que l’armoire sculptée, le moule à beurre, la vaisselle armoriée ou l’argenterie chez les plus riches. Le coffre par sa mesure excessivement modeste, était un objet de tradition populaire. 















jeudi 10 décembre 2020

Le Hamel St Etienne et la géanalogie

 



Vers 1490, Nicolas fit bâtir le logis du Hamel qui devint la résidence de Jean Turgot, sieur de Maresquet bailli de la carneille et de son épouse  de Saint-Bosmer de la Carneille


le pressoir du Hamel



Le prieuré du Hamel



Différentes sources indirectes présentent quelques mélanges et confusions qu'il n'est pas aisé de démêler. La généalogie Guillaume-de-Saint-Bomer  tente de tenir compte de la chronologie et de la transmission héréditaire des fiefs. 

Quelques éléments de sources: Article du docteur Leroy, n°°2 de 1927 du Pays Bas-Normand, communiqué par Gérard Villeroy: L'article est consacré à sa propriété du Hamel St Etienne à La Carneille, et dit qu'il fut construit vers 1490 par Nicolas de Saint Bosmer. Il écrit page 19, " Le 14 mars 1480, Guillaume de St Bosmer, qui habitait alors le manoir de Bois-André, par devant Pierre Bain, tabellion, baille et transporte par avancement d'hoirie à Jean et Nicolas ses fils, propriété et jouissance de ses héritages, rentes, etc... A Jean, son fils ainé, il donne ses fiefs du Bois-André et de Landigou. Nicolas, son fils puisné, héritera du Haut fief de La Carneille, du fief de Saint Etienne et du fief de Millesavattes avec celui de May en la dite paroisse". Il se réfère à la liasse E 240 aux Archives du Calvados. Page 23, il écrit "Nicolas de St Bosmer mourut vers 1509. Son fils, Jean le Picard ayant délaissé la Normandie pour aller habiter le domaine de sa femme à Heudicourt, en Picardie, le manoir devint l'apanage de sa soeur Louise de St Bosmer, qui avait épousé Jean Turgot, sieur du Maresqué". Ces derniers eurent deux filles dont Louise Turgot mariée avec Nicolas de Grésille, écuyer. Page 25, il cite un arrêt du Parlement de Rouen, rendu en 1601, contre Gabriel de St Bosmer, convaincu de félonie, les biens de ce dernier furent confisqués et firent retour à leurs seigneuries respectives. En note, il écrit qu'un Leverrier avait épousé en 1550 Renée de Saint Bosmer, dame du Bois André. Page 28, il écrit encore que Marie Turgot, fille de Simon, écuyer, sieur des Planches, veuve de Jean des Hayes, se remaria avec Nicolas de Saint Bosmer, écuyer, sieur de la Bourdonnière, cité en 1638. Numéro 4 de 1985 du Pays Bas Normand, La Carneille et ses seigneurs: Guillaume de St Bomer, fils de Jean, dit le Picard, mort vers 1513, avait épousé Françoise de Bouillé en 1501. De ce mariage sont cités: Nicolas, seigneur de St Etienne, Mathieu, François, Françoise, Nicole, et Renée mariée en 1550 avec Pierre Leverrier, écuyer. Nicolas de St Bomer, seigneur de St Etienne, époux de Marie de Falaise, est père de Catherine et de Gabriel de St Bomer. Ce dernier est dit seigneur de La Carneille, St Etienne, Millesavattes, Landigou, etc, en 1575, banni du royaume en 1601. D'après un manuscrit incomplet sur des preuves de noblesse, à la date du 3 juin 1599: "Gabriel de St Bomer, sieur de La Carneille, fils Nicolas, demeurant au Mesnil Simon, baillage de Chartres, a de fils: Jacques, Robert, René et Jean, veu ses titres en Monfaut jouira. Fabien, sieur de la Bourdonnière, fils Mathieu, cousin germain du dit Gabriel, demeurant La Carneille, sergenterie de La Forêt, veu leurs titres jouiront". Dans les actes en ligne Dozeville-Breard, Archives départementales de l'Orne, registre 4E 105/1: Image 94: Claude de St Bomer, écuyer, prêtre, curé de Courteilles, héritier de feu Nicolas de St Bomer, bailli de La Carneille, son frère, échange avec Jacques Turgot, chevalier, seigneur de St Clair, Mesnil-Gondouin, Bellou, Noron, Bons, Sousmont, etc, les biens de la Bourdonnière, contre des biens de Ouilly le Tesson. Image 108: accord entre Claude de St Bomer, prêtre, écuyer, curé de Courteilles, héritier de feu Nicolas, écuyer, bailli de La Carneille, avec Nicolle de St Bomer, sa soeur, veuve de Jacques Maillard, demeurant au bourg de La Carneille, pour son contrat de mariage du 30 janvier 1642. Image 131: contrat de mariage de Daniel Colombe, sieur du Mesnil, de Taillebois, fil de feu Thomas, et de Marie Moinet, avec Nicole de St Bomer, fille de feu Fabien, écuyer, sieur de la Bourdonnière, et de damoiselle Marie Eude, veuve de Jacques Maillard, de La Carneille. *** Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne de l'abbé Alphonse Angot: Plessis-Bochard (le) - Tome III Plessis-Bochard (le), chât., f., étang, c de la Poôté, à 2 kil. E. du bourg. Le Plessis Bouchard, 1512 (Tit. de la Cour de Sainte-Gemmes). La terre et sieurie du Plessis-Bouchard, 1595 (Tit. du Plessis de Colombiers). Le Plessis Bochard, chât., chap. (Jaillot). Bouchard, chât., vill. (Cassini). Fief et domaine. Le possesseur avait droit d'avoir à l'église, dans la chapelle de Saint-Étienne de Montaigu, bâtie et dotée par sa famille avant 1653, ses armes, banc et sépulture. Cette fondation se desservit au XVIII s. dans une chapelle domestique. Une belle allée d'arbres verts conduit du château à la route de Saint-Cenery. Seigneurs : Guillaume de Saint-Bômer, 1512, 1537. François de S.-B., mari de Catherine de Mouchet, 1549, mort avant 1570. Robert de S.-B., 1570, 1575. Mathurin de S.-B., mineur et catholique, 1577, teste, 1588. René de Saint-Denis, baron de Hertré, lieutenant au bailliage d'Alençon, chevalier de l'ordre, par acquisition pour 920 écus de François des Vaux, au nom d'Hélène de Saint-Bômer, sa mère, et de ses cohéritiers dans la succession du «" sieur de Sainte-Jame »", 1595. [...]. Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne de l'abbé Alphonse Angot: Sainte-Gemme-le-Robert - Tome III Sainte-Gemme-le-Robert, c d'Évron (5 kil.), arrond. de Laval (34 kil. E.-N.-E.). Féodalité. Malgré les prétentions exprimées dans plusieurs actes officiels, les châtelains du Plessis-Buret n'eurent point en droit la seigneurie paroissiale qui était attachée à la Cour. Le seigneur devait foi simple et garde pendant huit jours à la porte de Boyère du château de Montsûrs et avait franchise pour lui et ses hommes de Sainte-Gemme et de Mézangers pour passer leurs denrées par la châtellenie de Montsûrs. Les seigneurs sont les mêmes que ceux de la Cour à toutes les époques. J'ajoute ici quelques mots seulement à ce que j'ai dit ailleurs. Le cartulaire d'Évron fait connaître Gervais de Sainte-Gemme, inscrit à l'obituaire, et Robert, qui donna peut-être son nom à la paroisse et qui vivait en 1237. Guillaume de Saint-Bômer, né en 1430, qui épousa la soeur d'Olivier d'Abatant, fut accusé aux assises du Mans, au mois de mars 1454 (v. s.), «" d'avoir depuis XV jours prins un nommé Thomas Rocher, l'avoir mis dans une chambre en s'en faisant prison privée, d'avoir fait fendre un baston, et luy mettre les pousse liés encontre et mis un coin entre deux et celuy frappé tellement qu'il luy estacha les pousse. »" Mathurin de Saint-Bômer, dernier du nom à Sainte-Gemme, avait épousé Renée de Royers, qui convola ensuite avec Hercule des Vaux et avec François Guéroust, mort le 4 juillet 1624. Charles des Vaux, fils du second mariage, fut seigneur de Sainte-Gemme, et après lui Éléonore des Vaux, femme de César de Vauborel, 1665.* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Mar 2 2020, 15:02:52 UTC





Abattage du prieuré Saint-Etienne le 27 août 1963

Plus loin, au lieu-dit du Prieuré Saint-Etienne, la deuxième maison à gauche dite «maison du temple » montre sur son pignon un linteau de porte portant la croix nimbée ou croix de commandeur, témoin de la présence templière au moins jusqu’en 1307.







lundi 30 novembre 2020

Baptême des cloches de l'église par l'évêque en 1923 et procession


  baptême des cloches de l'église 1923 procession sur la place de la Carneille




procession 





mardi 17 novembre 2020

Dans les archives nationales...

- Cote : Pièce n°1 Fonds : Archives du comité des Recherches de l'Assemblée nationale constituante (1789-1791) :

 Procès-verbal relatant l'attentat commis sur la personne du sieur Dauphin, commandant la garde nationale de La Carneille (Orne).

- Energie et subsistances. Enquêtes sur les moulins à blé (an II-1809) :
LA Carneille 1809, moulin à eau de Trompesouris et moulin à eau de Boisandré …

- Résolutions adressées par le conseil des Cinq-Cents au conseil des Anciens concernant : la poste aux chevaux ;
la répression du brigandage et des assassinats aux cantons suivants de l'Orne à La Carneille

- Moulins et usines hydrauliques situés sur des cours d'eau non navigables ni flottables  : 
La Carneille,- Ruisseau de Gisne Commune de la Carneille (1815-1816)....

 Dans  Papiers des Comités d'Instruction publique de la Législative et de la Convention :
Bois bilaine, maître du pensionnat dans la Période : 1801 - 1900


source  archives.fr A lire ....



...


LE PAYS BAS NORMAND N°3 (N°147) 1977 
- LES DOLEANCES DE 1789 DANS LE BOCAGE DU HOULME ET LA PLAINE D'ARGENTAN. Broché – 1 janvier 1977

Le Pays Bas-Normand, Flers, 1951.


Le Pays Bas-Normand, fondé en 1908 par M. Auguste Lelièvre, Flers, Domfront, Vire et ses environs, société historique, archéologique, littéraire, artistique et scientifique. Sommaire : la bourgeoisie de la Carneille - Le Chevalier de Bonvouloir : premier émissaire secret de la France auprès du congrès de Philadelphie, avant l'indépendance américaine (Suite) - Les doléances du bocage en 1789 - Notes et glanes.





VOIR :

https://www.abebooks.fr/servlet/SearchResults?bsi=0&sortby=20&tn=le%20pays%20bas%20normand&prevpage=4

lundi 16 novembre 2020

1849 Plan du bourg

 



Plan du bourg en 1849

Les noms des propriétaires des parcelles
(source le pay bas normand)


Que faisiez vous le 23 JUILLET 1847 Cosinus ?




AVIS
 a la population :


Nous recherchons une photo du Dolmen de la niche au chien se situant au bout de trompe souris 

dimanche 8 novembre 2020

"L'ODYSSÉE D'UN PROMENEUR DU TEMPS"

 

Jean-Pierre Manesse-Dupont écrit depuis quelques années. il a fait ses deux premières publications pour enfants. 

Jean-Pierre Manesse-Dupont se consacre à l’écriture de son œuvre : L’Odyssée d’un promeneur du temps : Une dizaine de romans pour adultes en font partie, ainsi que deux cahiers illustrés pour enfants ou pour les grands ayant gardé leur âme d’enfant, L’arbre enchanté et L’île aux sirènes. Tous ses livres ont l’agrément du ministère de la Jeunesse. Les deux premières publications, dédiées aux enfants qui découvrent la lecture, sont le début d’une série de quatre cahiers illustrés. Le héros, Ulysse, y raconte ses expériences et émotions de petit garçon.


L’arbre enchanté 

 Dans ce premier cahier, L’arbre enchanté, Ulysse est l’enfant unique d’une famille aimante. Il vit à la campagne, et va à l’école tous les matins où il retrouve tous ses camarades de classe et en particulier, Joëlle. Ulysse a une vie de petit garçon pleine de jeux et de préoccupations d’écolier. En grandissant, lorsqu’il se retrouve seul, il s’invente un ami invisible, son Ange Gardien, avec qui il partage ses rêves, ses jeux, ses peurs et ses joies. Un jour, bravant les interdits, il va jusqu’à l’étang, et là, il fait la rencontre extraordinaire d’un arbre… Le livre est écrit dans un langage simple et clair, le texte est illustré de photos et de dessins, invitant le petit lecteur à réfléchir et y inscrire ses propres impressions.


A suivre sur Jean-pierre Manesse Dupont (source)




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jeudi 5 novembre 2020

on s' moque ti dés paysans, surtout d' ceux du d'la Carné ?

 



Henri Ermice (1870-1958) est né à Saint-Germain-sur-Ay dans la Manche. D'abord professeur de lettres à Vire, il devint libraire dans cette même ville. Peintre et poète, on lui doit un seul recueil intitulé "Choix de poésies normandes et de monologues en patois de notre pays", imprimé en 1956, qui comprend 10 poèmes en français et 12 en normand. Il est passé à la postérité grâce à une importante collection de cartes postales humoristiques qu'il éditait et distribuait lui-même.  

Très attaché à son terroir et à ses traditions, il dépeint dans ses poésies la gaité et le pittoresque des scènes rurales caractéristiques de son temps. D'un point de vue linguistique, le français est largement mélangé au normand et l'on ne peut pas reconnaître ici le meilleur de notre production littéraire. Toutefois, ces petits mots pour rire font encore leur effet.







No s' moque dés paysans, surtout d' ceux du Bocage, 
Mais qu'i's ont dès bons mots, 
Qu'i trouv'nt bi'n à perpos, 
Quand i veul'nt discuter dans leux patouais d' langage.

vendredi 4 septembre 2020

les nouvelles de 1870

Alors que le dimanche 4 septembre 1870 Le Figaro faisait part d’un « succès éclatant » des armées françaises et présentait les Prussiens comme « vaincus, culbutés »,


 Le Constitutionnel du lundi 5 septembre 1870 consignait, sans commentaire, une rumeur glaçante, parvenue le samedi soir de Bruxelles et dont les rédactions ignoraient tout encore, faute de correspondant :  
« Bruxelles, minuit, 3 septembre. Une personne qui arrive à l'instant de Namur, nous apporte des nouvelles d'une gravité extrême. L'armée française est en complète déroute: 
L'Empereur a été fait prisonnier […] Le carnage a été affreux. Les Français se sont défendus avec un courage surhumain. Mais le désastre est complet. »


  

Originaire de la Carneille François-Emile MORIN  descendant vers la cavée peut avant les événements de la guerre de  1870 ou il fut blessé comme Jean Baptiste Bidaux né aussi à la carneille le 11 janvier 1838: 


« Et ce que l’on sait moins, c’est que les Prussiens occupèrent des régions de l’Orne que l’on pouvait imaginer très loin des batailles et Alençon fut partiellement envahi quelques jours avant la signature de l’arrêt des combats. » Le 15 janvier 1871, les Prussiens sont refoulés des abords d’Alençon, ce qui coûta la vie à 160 Français.


Aux Mobiles de l'Orne et Leurs Camarades


jeudi 13 août 2020

Les Traditions de mariage dans le département de l'Orne



Les Traditions de mariage dans le département de l'Orne par J. Blossier

 LA demande en mariage est généralement faite par le jeune homme lui-même. Il arrive cependant, mais plus rarement, qu'il a recours à l'intervention d'un ami qui le présente à la famille ; on l'appelle le Darin ou Bédochet.

 S'il convient à la jeune fille et à ses parents, il est admis dans la maison une fois par semaine, de préférence le dimanche et le soir. Six mois après, si à ce moment il n'est survenu aucun obstacle pour faire rompre les bonnes relations, le jeune homme est admis plus souvent ; il est alors regardé presque comme un parent. On parle bientôt de réunir les père et mère du jeune homme. Ils sont conviés à un diner chez les parents de la jeune fille. C'est le jour des fiançailles ou, pour employer l'expression du pays, des accords. Pendant le repas, on parle du mariage, de l'avenir des deux jeunes gens, de la situation qu'on espère leur créer.
On a garde d'oublier l'avoir en argent et mobilier que les deux familles se proposent de donner à leurs enfants. Ceci est constaté dans le contrat qui se fait quelques jours seulement avant le mariage.
 Quand tout est convenu et arrêté on fixe généralement le mariage à un mardi, à trente ou quarante jours au plus des fiançailles.

 Les futurs époux font ensuite leurs invitations

Petit coffre de mariage normand en bois polychrome à décor de ...Objets d'hier, Coffret de mariage normandPetit coffre de mariage à couvercle bombé orné de fleurs et ...
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LE COFFRE DE MARIAGE NORMAND







lundi 10 août 2020

L école






puisque Jésus en ses paroles
Disait d'aimer tous nos enfants
Faisons fleurir près des écoles
L'amour avec ces soins pressants.

jeudi 30 juillet 2020

Visite historique du village de La Carneille

Visite historique du village de La Carneille (1,7 km) le 16/08/2020 à 10:00 
rdv  sous la Halle au beurre à La Carneille, 

 Collectif de la Cavée des artistes de La Carneille
 tel 06 66 31 26 45



1742 une grande pierre carrée se dresse dans le cimetière de la Carneille...


Aujourd’huy, trentyème jour d’août mil sept cent quarante-deux sont convenues François Longuet et Jacques Porchet du métier de maçon, lesquels sont convenus et s’obligent réparer les murs du simptière1 de la Carneille depuis la maison de Jacques Deshayes jusqu’à la valée de Barbot, relever les murs et en constuire dans le lieu qu’il leur a été montré, le mur depuis la maison de Jacques Deshayes jusqu’au bout de l’église doit estre élevé d’un pied au dessus du simptière, rouverir un petit chemin pour passer et reboucher celui qui est sous le chesne et construitre un échalier de pierre sur la vallée de Barbot et relever un chemin au bout de la sacristie et de l’église large de cinq pieds avec un talut et encore deux petites marches au pied du poirier et relever le petit chemin de dessus la vallée de Barbot ainsi que de se servir de rejetter la terre des fondements2 dans le simptière de la ditte paroisse parcequ’aussi lesdits maçons débitterons la grande pierre carrée qui est dans le dit simptière le mieux qu’ils pourrons et la placerons à paver le coeur de l’église où il en sera besoin au moyen et pour le prix et somme de vingt cinq livres qui leurs sera payé par Pierre Longuet cy-devant trésorier de la dite église. Sçavoir douze frans et demi à la fin de septembre et le restant à la fin de l’ouvrage qu’ils s’obligent rendre parfait le quinze d’octobre prochain, parce qu’encore lesdits maçons reboucherons la croisée de derrière l’ostel Saint Etienne. Ainsi est intervenu Jean Longuet, fils Pierre, qui a signé àu défau l’absence de son père

Source http://dozeville.free.fr/spip.php?article595



jeudi 4 juin 2020

les boutiques du bourg rue principale (rue des marchands)


R.GAUBERT à La Carneille




Emile Hété à La Carneille 
chaussure sabot


L'HOTEL DE FRANCE et  HETE quelques années après. 



Laine Chanteclair et la boucherie 


Coiffeur Olivier en face



la Carneille son Histoire ...