lundi 21 mai 2012

Historique de la population de La Carneille de 1968 à 2007

Historique de la population de La Carneille de 1968 à 2007 :

La population de La Carneille est 571 en 2011et elle était de 562 habitants en 2007, de 486 habitants en 1999, de 480 habitants en 1990,  de 530 habitants en 1982, de 520 habitants en 1975 et de 570 habitants en 1968.

Ce recensement de la population du village de La Carneille est sans doubles comptes.
Ce concept de population de La Carneille sans doubles comptes signifie que chaque personne habitant La Carneille et ayant des attaches dans un autre commune n'est prise en compte que pour l'une de ces deux communes.
Population La Carneille
Population La Carneille

Population de La Carneille de 1968 à 2007 :
Cette courbe reprend l'historique de la population de La Carneille de 1968 à 2007 en interpolation cubique. Ceci permet d'obtenir plus précisément la population de la commune de La Carneille les années ou aucun recensement n'a été effectué.

- Population de La Carneille en 2007 : 562 habitants
- Population de La Carneille en 1999 : 486 habitants
- Population de La Carneille en 1990 : 480 habitants
- Population de La Carneille en 1982 : 530 habitants
- Population de La Carneille en 1975 : 520 habitants
- Population de La Carneille en 1968 : 570 habitants
La Carneille : Interpolation cubique de l'évolution de la population



La Carneille : naissances et décès de 1999 à 2008
- La Carneille en 2008 : 11 naissances et 4 décès
- La Carneille en 2007 : 7 naissances et 2 décès
- La Carneille en 2006 : 14 naissances et 5 décès
- La Carneille en 2005 : 13 naissances et 5 décès
- La Carneille en 2004 : 4 naissances et 3 décès
- La Carneille en 2003 : 8 naissances et 2 décès
- La Carneille en 2002 : 9 naissances et 7 décès
- La Carneille en 2001 : 7 naissances et 2 décès
- La Carneille en 2000 : 7 naissances et 4 décès
- La Carneille en 1999 : 7 naissances et 7 décès

La Carneille : évolution des naissances et décès de 1968 à 2007
- Entre 1999 et 2007 : 69 naissances et 35 décès.
- Entre 1990 et 1999 : 54 naissances et 36 décès.
- Entre 1982 et 1990 : 48 naissances et 43 décès.
- Entre 1975 et 1982 : 51 naissances et 42 décès.
- Entre 1968 et 1975 : 30 naissances et 53 décès.

Répartition de la population de La Carneille par âge en 2007 :
- Population de La Carneille de 0 à 14 ans : 130 habitants
- Population de La Carneille de 15 à 29 ans : 75 habitants
- Population de La Carneille de 30 à 44 ans : 113 habitants
- Population de La Carneille de 45 à 59 ans : 118 habitants
- Population de La Carneille de 60 à 74 ans : 79 habitants
- Population de La Carneille de 75 ans ou plus : 47 habitants

samedi 19 mai 2012

Paysages de Basse-Normandie


Paysages de Basse-Normandie

Façonnés au fil des siècles par les activités humaines, notamment rurales, les paysages constituent un véritable patrimoine. Incroyables paysages bas-normands…
Connaître les paysages s’avère un préalable indispensable à la définition d’une politique du paysage par la Région.

Plusieurs Opérations Grand Site (OGS) ont été menées sur le territoire bas-normand. L'objectif d'une OGS est de gérer un patrimoine naturel et/ou culturel d'exception qui subit une fréquentation touristique importante en déséquilibre avec ses capacités d'accueil.



http://www.cr-basse-normandie.fr/index.php/batir-une-eco-region/environnement/patrimoine-naturel/trame-verte-et-bleue

Le massif granitique de La Carneille


Le massif granitique de La Carneile  affleure au Sud de Caen, au Nord Est de Flers. Il est situé dans un ensemble de terrains du Briovérien.


Carte de Basse Normandie © Environement.gouv

 
 
 
plan ancien de l'Orne

Histoire géologique de la Carneille


Histoire géologique de la région



Dépôt des sédiments du Briovérien supérieur (Précambrien final) entre -584 à -540 millions d’années F Flysch
  1. Expansion du bassin attestée par le volcanisme des basaltes tholéiitiques de Vassy
  2. Déformation plicative de l’orogenèse cadomienne – plis isopaques orientés N 70° E. Plissement daté par l’intrusion de la granodiorite d’Athis vers -540 Ma F auréole thermique de cornéennes et de schistes tachetés
  3. Erosion
  4. Dépôts des conglomérats et grès pourprés. Les glacis de piémont de la pénéplaine alors réalisée se réorganisent en tresses fluviatiles. Début du Paléozoïque
  5. Transgression marine du Cambrien inférieur
  6. Au Carbonifère supérieur (vers -310 Ma), l’orogenèse varisque (hercynienne) se traduit par des plis déversés au Sud
  7. L’érosion fini-paléozoïque n’a laissé subsister que les synclinaux (zone bocaine et de la Forêt d’Auvray)
  8. Arrivée de la mer au Jurassique. Dépôt de couches calcaires riches en coquilles
  9. Retrait de la mer
  10. Erosion et encaissement des cours d’eau 
géo

 
Info
Google earth et Géoportail ne fonctionnent pas de la même manière et se complètent : Le premier est un logiciel gratuit à télécharger et couvre la planète entière. La définition et le relief sont de qualités inégales selon les régions du globe. Géoportail est un site internet couvrant le territoire français et proposant soit une vision 2D soit une vision 3D ; dans ce dernier cas un logiciel est nécessaire (terraExplorer).


Géologie Orne

Site naturel de la Roche d'Oëtre



La Roche d’Oëtre est située en plein cœur de la Suisse Normande à la limite départementale du Calvados et de l’Orne. La roche porte, semble-t-il, un nom d’origine grecque : « Oëtre » qui signifierait terre aride, brûlante, desséchée par le vent du Sud.

Cent dix-huit mètres d'altitude, un homme de poudingue, l'air impassible, scrute la vallée de la Rouvre depuis l'aube du monde. Difficile d'imaginer que cette roche, il y a quelques millions d'années, ressemblait à notre fameux géant blanc des Alpes.

La Roche d'Oetre a, bien sûr, son histoire. C’est tout d’abord celle de la grotte de la « Chambre aux fées », laquelle a caché divers brigands ou réfugiés : vers 1615, Georges Phillipart, faux monnayeur de Saint Aubert s’y dissimula avant d’être massacré au pied de la Roche ; en 1789, Fouasse de Noirville, seigneur de Ségrie-Fontaine, s’échappant de son château assiégé, s’y réfugia quelques jours ; enfin, en 1795, le général de Frotté, chef des chouans normands, s’y abrita également.

Enfin, un pavillon d’accueil de la Roche d’Oëtre propose les services de point d’information, de boutique, de restaurant-bar et d’espace muséologique. Cette récente réalisation de la Communauté de communes du Bocage d’Athis a pour mission de présenter au public les grands sites naturels des « montagnes de Normandie ».

 La Normandie a bien ses montagnes, certes les plus basses de France (417 mètres au point culminant : Mont des Avaloirs, Signal d’Écouves), mais aussi les plus anciennes (2 milliards d’années).

Un des peintres lors de la première édition en septembre 2010.
photo ouest france
Web : www.roche-doetre.fr