lundi 27 août 2012

P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non !



« Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire,
Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère.
Et tâchez quelquefois de répondre en Normand »

Fable de Jean de la Fontaine

le petit pont


samedi 25 août 2012

Église de Saint-Pierre et Saint-Paul

Église de Saint-Pierre et Saint-Paul

A la fin du XVIém siécle, l'ancienne église paroissiale situé sur le territoire portant le nom de grand cimetière, fût ruiné et incendiée. les paroissiens décidérent alors d'agrandir la chapelle du chateau et de la convertir en église paroissiale. Celle-ci occupait un espace de 24 mètre sur sept métre. Le clocher était situé à l'union su choeur et de la nef.
 

 


 

Le 20 avril 1777, les notables de La Carneille dècèrent de démolir le clocher et de contruire devant la porte principale une tour de 35 métre. Ce clocher dresse encore de nos jours sa belle silhouette.







Église de Saint-Pierre et Saint-Paul date de 1858


Suite à un état de délabrement avancé, la construction d'une église neuve fut décidée et annoncé à la population le jour de pâques 1856. les travaux de nivellement comencère le 12 mai 1856 le cimetière situé au nord de l'église fut supprimé. les ornements furent déplacé dans le cimetière actuel.
A la fin de l'année 1860 le gros oeuvre de l'édifice, qui se dévellope sur une longueur de 38 mètre, est achevé. vingt année supplémentaire furent nécessaire pour finalisé cet édifice (aménagement et l'ameublement de l'intérieur, les portes et les vitraux

vendredi 24 août 2012

Le Carneillais - Bar de La carneille

Le postier devant le café tabac

l Hotel de France


Le Carneillais - le Bar de La carneille


ouest france
le carneillais est l'ancien Hotel de France

Bar- hotel de France - G.Fouchet à La Carneille

les années 50


Nouvelle 

"Le Bonhomme normand


[Notice du journal]
 du 24 août 1867

Vendredi, sur les six heures du soir, un enfant d'environ 10 ans, nommé Flavien Lemarchand de la commune de la Çarneille (Orne), a été renverse par une voiture dans la rue d'Argentan, à Falaise, alors encombrée d'une foule nombreuse. Cet enfant a été assez gravement blessé à la tête et a son bras, mais sa vie ne court aucnu danger et aujourd'hui il est dans un état satisfaisant. Immédiatement après l'accident il a été recueilli dans la pharmacie (le M. Lebarbier, ou les premiers soins lui ont été prodigués,




jeudi 16 août 2012

68 ém anniversaire de la libération de la Carneille

Le mois d'aout est l'occasion de nous souvenir.



Les journées du 17 et 18 Aout 1944 furent le théatre de combats pour la libération de notre région et de notre commune de La Carneille par les troupes anglaises
Fantassins du "Hereforshire" appuyé par les tanks du 2ém Northamptonshire yeomanry , route de Paris à Landigou, avancent sur La Carneilleille


carte des opérations

Opérations à Argentan et de la poche de Falaise du 12-16 août 1944


"Eternal honour given to those who fell, that we might live"

vendredi 10 août 2012

Athis

Blason d'Athis-de-l'Orne


Les armes de la commune d'Athis-de-l'Orne se blasonnent ainsi :
D'argent aux deux chevrons de sable accompagnés de trois canettes du même


La seigneurie d’Athis appartenait, bien avant l’an 1300, à la famille de Renouf d’Athis qui était seigneur des lieux à cette date.

Le domaine passa ensuite entre les mains de la maison de Falaise avec un prénommé Jéhan, que l’on trouve seigneur des lieux en 1388.

Ce sont ensuite les « de Renneville » qui possédèrent la seigneurie vers le milieu du XV e siècle. La filiation de cette famille est mieux connue depuis 1550, où l’on trouve Gilles de Renneville, seigneur d’Athis, et son frère Louis, curé de cette paroisse. Son fils Louis lui succéda et s’allia avec la famille de Vanembras, en épousant Guillemette. De cette union naquirent un fils et une fille. Le fils Robert, devenu seigneur des lieux, épousa Françoise des Rotours, ils n’eurent pas d’enfants. Il mourut en 1618 et, dans son testament, il demandait à être enterré dans l’église d’Athis. Sa sœur Gillette hérita de la seigneurie cette même année, mais ce n’est qu’en 1634 que son mari, Jean-Paul de Saint-Germain, fut déclaré seigneur d’Athis. Ce dernier mourut en 1662 et son épouse en 1668. Leur fils Louis leur succéda et loua en 1662 les moulins de Vaux de Vère et les terres dépendantes. Il avait épousé Françoise Chalier et eu un fils Pierre qui devint seigneur d’Athis en 1722. Sa veuve, Marguerite Lemaistre, fonda, en 1740, une école gratuite pour les pauvres de la commune. Elle fut en 1767 marraine d’une des cloches de l’église. Son fils Jean-François-René fut le dernier seigneur d’Athis du nom.

La terre passa ensuite aux mains de Gaspard Félix, comte de Robillard, suite à son alliance avec Suzanne de Saint-Germain. Vendu par ce dernier, la terre fut entièrement démembrée.

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L’origine du nom Athis vient de Aties ou Atties dérivé du latin Attegioe signifiant petite cabane ou hutte. C’est pourquoi il était employé pour nommer les cabanes des Maures ou les villages dont les premières habitations étaient des cabanes de bergers, vignerons ou bûcherons.





samedi 4 août 2012

Histoire de la libération de la Carneille en 1944



État des opérations d'approche de la Carneille il y a 68 ans du 2 au 8 Août 1944 par le XVém corps
Il faudra deux mois pour que l'armée américaine perce dans la Manche et opère un vaste mouvement tournant en Bretagne et Pays de Loire, avant de remonter plein nord depuis Le Mans. Deux mois pendant lesquels les bombardements continueront. Deux mois d'attente mis à profit par les FFI pour préparer la Libération. A partir du 11 août, l'Orne va devenir le chemin de retraite de l'armée allemande et, à partir du 19 août, le théâtre de son anéantissement.
Accompagnée par des FFI qui commencent à libérer la campagne du Perche, la 2ème division blindée française, commandée par le général Leclerc, entre à Alençon le 12 août, triomphalement et sans combattre, en même temps que la 5ème DB américaine libère Sées. Puis les deux divisions montent sur Argentan, où la résistance allemande est très forte.
Après l'échec de Mortain, les Allemands ont compris le danger, et ils refluent en désordre de la région de Flers.
Les Américains, qui ont rejoint les Britanniques à Tinchebray le 15 août, poursuivent vers Argentan

Petit Musée "Libération de Berjou 39-45"


"Petit Musée de la Libération 39-45"



Les Cours 61430 à Berjou

Tél. 06 71 82 24 96
benedicte.bon0745@orange.fr

www.liberationdeberjou3945.fr

Salle d’exposition 39-45.

Exposition de souvenirs militaires anciens. Un hommage particulier aux combattants ayant participé à la Libération.

Ouvert sur rendez-vous de 14h à 17h30 le dimanche.
Entrée libre.
Table de pique-nique sur place.