jeudi 15 novembre 2012

dimanche 4 novembre 2012

Considérations sur les origines de l'homme dans la vallée de la "Rouvre La Carneille" au pays des Suates  


par René le Roy en  1934



Nous cherchons désespérément
un portrait de Sylvere Bouquerel (1908 -1932)  et Ulysse Blanchard (1896 -1908) ; ils furent maires de La Carneille.

samedi 3 novembre 2012

Jour de marché à La Carneille




Le beurre est obtenu en battant la crème tirée du lait. Pour obtenir un kilogramme de beurre, il faut environ 20 litres de lait entier. L’opération est souvent effectuée après maturation (fermentation légère) de la crème. Le barattage de la crème non-réfrigérée (battre de la crème froide fait de la crème fouettée) rassemble les gouttelettes de matière grasse en suspension. Le beurre se sépare alors du babeurre. Il est ensuite malaxé pendant un rinçage à l’eau fraîche, pour améliorer la conservation en évacuant autant de babeurre que possible.

Provenant de plusieurs fermes du pays il était vendu sous la halle "au beurre"sur la place du marché.

La maison d'angle 1950

 
OEIL en 2014
 
 

Cette maison d'angle  de style 50 donne sur la place de l'église

 
Avant guerre elle avait son petit jardin clos devant sa porte.
 
 
 Elle fut détruite suite à une bombe qui l'endommagea  pendant la libération de 1944 .
 A sa reconstruction elle est devenu une boutique de graineterie avec son habitation au dessus .
Puis ce fut une maison de ville loué a une famille et elle est vide maintenant depuis quelques années.

Aujourd'hui des travaux vont la transformée en immeuble de deux logements.

Chateau du Bois André


                                         le Roi Henri IV fut accueilli au château du Bois André


Château du Bois André date du XVIe et XVIIIe siècle.

la cour d'honneur et son bassin



côté parc



Au XVIIIe siècle, les hommes portaient la chemise et la culotte de toile. Les pantalons étaient en siamoise rayée et la cravate était en fait, un mouchoir de toile noué autour du cou. Les guêtres en toile ou coutil protégeaient les bas et les jambes. Le port des sabots de bois permettait d’économiser les chaussures qui elles, étaient réservées aux jours de fête. Enfin, un chapeau à bord en feutre de laine, abritait du soleil et de la pluie.


Au XIXe siècle, ce costume évolue vers le port d’un pantalon, d’un gilet, d’une veste et d’une redingote pour les jours de fêtes. Cet ensemble est complété par quelques accessoires comme le parapluie, la cravate ou mouchoir de cou, et le chapeau haut-de-forme.

La blouse dénommée en Normandie « blaude » est le vêtement populaire de protection régional. Elle apparaît vers 1780 et se généralise vers 1815. Évoluant dans sa forme, elle perdure jusqu’en 1950. Elle se porte les jours de travail mais également les jours de fêtes où elle s’orne de broderies au point de chaînette au col et aux poignets.

Le parapluie, bien qu’un produit de luxe, est un élément incontournable du costume traditionnel normand. A ce costume des jours ouvriers vient s’ajouter une casquette à pont qui se généralise vers 1850






Arrivée par la route de Flers


1904 - Arrivée par la route de Flers (photo Alleaume-Morel)



Sur la route de Flers au début du XXème siècle, on se promène au milieu de la route, il y a peu de voitures. (photo Levasseur)

La Grande rue commerçante

Évolution de la rue et des commerces


 jour de marché : la boucherie et les établissements Cullotin. la halle au beurre sur la place en pleine effervescence


chez Olivier le coiffeur , le boucher avec une belle devanture ancienne, les poteaux électriques...

La maison Bouquerel

La maison Bouquerel

Située derrière la Mairie cette maison fut la propriété de la famille des Hayes. Elle devint celle de la famille Bouquerel qui sans descendance elle  fut donné à madame de Priester. Elle fut achetée par la communauté de communes afin d'en faire une maison pour personnes âgées. Restée à l'abandon  elle fut  rachetée par monsieur Claude Salliot il y a quelques année.

C'est une jolie maison bourgeoise du début du XIX siècle qui a les pierres d'une ancienne bâtisse du moyen Âge. On découvre en effet dans le pignon des corniches figurant de curieux personnages.


La famille Bouquerel :
Nous trouvons les traces de cette famille sur La Carneille depuis le XVII ém Siècle

Sylvere Bouquerel fut Maire de La Carneille de 1908 à 1932
Xavier Bouquerel fut Maire de La Carneille de 1883 à 1884
Hilaire Bouquerel fut Maire de La Carneille de 1860 à  1865


vendredi 2 novembre 2012

Arthur et La Carneille

Rien ne permet d'affirmer que le personnage d'Arthur a réellement existé ni qu'il soit passé à la Carneille.
 Son nom apparaît dans des légendes galloises à partir de l'an 600. C'est en puisant aux sources de la tradition celtique que Geoffroy de Monmouth inscrit Arthur dans son Histoire des rois de Bretagne  en 1136, et fonde ainsi le mythe littéraire.


Geoffroy de Monmouth, Historia regum Britanniæ

Arthur combat un géant 
 
 
 
Le Chevalier au Lion
Deux scènes – En haut, la joute à cheval d'Yvain et de Keu qui brise sa lance et se déséquilibre ; en bas, Keu est à terre, Yvain s'est emparé de son cheval qu'il va remettre aux chevaliers d'Arthur.
Chrétien de Troyes (ca. 1135-ca. 1185), Yvain ou Le Chevalier au Lion
 
 
Bien que la légende d’Arthur soit née dans les régions celtiques de Grande-Bretagne, notamment au Pays de Galles, les premières œuvres littéraires sont apparues en langue française, à la cour des Plantagenêt et des comtes de Champagne.
 

La fanfare municipale de La Carneille

1921 - "La Jeanne d'Arc" de La Carneille.
La fanfare est en tenue de chasseur alpin.
Tambours et clairons
 
 
 
Quand la fanfare municipale de La Carneille défilait dans la rue principale


tout 'l'monde était là pour lui crier "Bravo !", tout en agitant des p'tits drapeaux
On  pavoisait toutes les maisons et fleurissait les balcons les jours de fête


 et au 14 juillet on  jouait  la Marseillaise ....


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