Que c’est une chose charmante
De voir cet étang gracieuxOù, comme en un lit précieux,
L’onde est toujours calme et dormante !
Mes yeux, contemplons de plus près
Les inimitables portraits
De ce miroir humide ;
Voyons bien les charmes puissants
Dont sa glace liquide
Enchante et trompe tous les sens.
Jean Racine, Lettre à Mademoiselle Vitart
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